De Changé à St Jean-sur-Mayenne le lundi 19 mai 2025

A 11 h 25 nous rebroussons chemin pour accoster au ponton de la ville de Changé où nous pourrons faire des courses. La ville est bien approvisionnée en magasins et en traversant le pont, un supermarché se trouve à 300m.

     

Nous croisons Jacques sur L’Oersyni rencontré à Entrammes. C’était bien sa place privée qui nous a servi d’abri la nuit dernière. Echange de téléphone et départ à 18 h 15 pour une arrivée à 20 h 10 dans un joli lieu proche de Laval : Saint-Jean-sur-Mayenne. Une berge consolidée par des planches de bois donnant accès au terrain de camping-cars et à ses commodités. Le village est tout proche et nous découvrons lors d’une balade la rivière Ernée que nous ne connaissions que par les mots croisés.

C’est dans cet endroit idyllique en cette saison qu’a choisi de vivre Jacob sur son bateau Akhesa qu’il retape tout en travaillant. Comme son amie Patricia, il est passionné de moto et se rendent les prochains jours à Dijon au plus grand rassemblement de motos d’Europe.

       

Le 23 mai, nous allons à vélo à Changé par la piste cyclable goudronnée puis prenons un bus qui nous mène jusqu’à Laval. Nous montons à pied jusqu’au château qui propose une entrée gratuite au musée d’Art Naïf et d’Arts singuliers. Laval est la ville de naissance du Douanier Rousseau. L’exposition dans un site aussi prestigieux est merveilleuse. Nous déjeunons dans les rues pentues du vieux quartier dans un restaurant au nom bien mérité : l’Orfèvre.

Le bâtiment du musée des Beaux-Arts  et surtout le jardin de la Perrine nous enchantent. A 16 h, nous reprenons le bus puis nos vélos par la voie verte, la Francette, au sud-est de la rivière. Sur la route du retour, une table de ping pong originale nous interpelle.

 

Le 26 mai, nous louons une voiture pour rendre visite à Laurence et Eric, parentèle en vacances à Clécy. Retrouvailles et escapades sympathiques sur les bords de l’Orne.

Nous rentrons par Fougères pour explorer les moindres recoins de ce beau château. Le 28 nous rendons la voiture à ce loueur bien obligeant qui, à l’aller comme au retour nous reconduit.

 

Ce contenu a été publié dans France, avec comme mot(s)-clé(s) . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.