Camarinas, du mardi 27 au jeudi 29 mars 2012

cap vilano.jpgPartis à 8h 30 de La Corogne nous doublons le Cabo Vilano, entouré d’une multitude d’éoliennes, à 17 h30, après une navigation voile et moteur faute de vent. Nous arrivons à 18 h 30 à la marina de Camarinas où le mariniero nous indique une place en bout de ponton et nous aide à nous amarrer.
La marina de Camarinas est petite mais très confortable, bien abritée, eau, électricité, WC, douches et wifi sans antenne au ponton. Nous sommes en Galice et toutes le inscriptions sont en galicien, parfois sous titrées en espagnol, les gens parle galicien, le pain se dit « bara » comme en breton, le Cabo Vilano des cartes devient le « Cab Vilan ». Le village est de taille moyenne, avec de nombreux commerces et un petit marché, il est entouré d’une forêt d’eucalyptus. 28-3-12 Cmariñas grenier sur pilotis champignons.JPGIl persiste beaucoup de maisons traditionnelles en granit avec dans la cours un horreo bien conservé. Il s’agit de petites constructions en granit sur pilotis qui servent à conserver les céréales à l’abri des intempéries et des animaux. Il fait chaud et les citronniers ploient sous le poids des fruits.
Dans la marina il y a un bateau français, un Océanis 39CC, sur lequel vit un couple de bretons. Ils sont là depuis un an et se plaisent bien à Camarinas dont ils connaissent tous les secrets.
Le 28 en fin d’après midi le groupe électrogène qui démarrait déjà difficilement ne veut plus du tout démarrer et le marineiro nous accompagne chez un mécanicien qui viendra régler le problème le lendemain matin. Il s’agissait d’une soupape bloquée, il nous dit que le problème a peu de risque de se reproduire.

Ce contenu a été publié dans Espagne, avec comme mot(s)-clé(s) . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.